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Catherine O'Driscoll, auteur du livre : Ce que les Vétérinaires ne nous disent pas sur les vaccins, pose la bonne question:

 Lorsque mes jeunes chiens sont morts, je me suis demandé "pourquoi ?"  et j'ai appris qu'ils avaient été victimes de sur-vaccination. Mes recherches m'ont amenée à publier un livre qui s'appelle "Ce que les vétérinaires ne vous disent pas sur les vaccins".

 

L'industrie du vaccin vétérinaire a lancé une campagne pour défendre la vaccination annuelle.. mais la vérité triomphe toujours.

En janvier 2004, 31 vétérinaires ont eu le courage de signer une lettre publiée dans le Times des Vétérinaires (Royaume-Uni), affirmant que la vaccination annuelle constitue un abus de confiance par désinformation, un mensonge par omission et du vol par tromperie.

J'avais qualifié la vaccination annuelle de tromperie 10 ans auparavant, pleinement consciente que je pouvais être traînée en justice si on me donnait tort ; cela n'a pas été le cas.

La vérité est bel et bien que nous vaccinons trop !

 En 2000,les membres du COBTA (Conseil de l'Association Vétérinaire Médicale sur la Biologie et la Thérapie) ont présenté leurs conclusions de rapport, affirmant ce qui suit :

  • Lorsqu'une piqûre de rappel avec un vaccin contenant un virus vivant désactivé (souche morte) par exemple celui de la maladie de Carré, de la parvovirose ou de la maladie de Carré féline - est administrée à un animal adulte déjà vacciné, aucune protection supplémentaire n'est apportée.

Les vaccins par virus vivant modifié ont leur action fondée sur la reproduction du virus comme réponse. Les anticorps dus aux vaccinations précédentes ne permettent pas aux nouveaux virus de se reproduire, les taux d'anticorps ne sont pas augmentés de manière significative, les populations de cellules-mémoire ne se sont pas étendues.

Bref, aucune protection supplémentaire n'est apportée par cette piqure de rappel.
Il n'y a pas de données scientifiques pour étayer les directives des marques de vaccins dans le sens d'une nouvelle injection tous les ans.

LES VACCINS NE SONT PAS INOFFENSIFS.

Des effets secondaires peuvent être évités et de gros désagréments peuvent être minimisés en évitant les vaccinations non indispensables.

  • POUR RESUMER: la vaccination annuelle est une perte de temps. Une fois l'immunité acquise, aucune protection supplémentaire n'est apportée par la répétition.
  • RAPPELONS-nous QUE LES VACCINS NE SONT PAS INOFFENSIFS !

          LA COBTA **(voir plus haut) a annoncé qu'il fallait vacciner plutôt tous les 3 ans.

Mais il n'est pas nécessaire, non plus, de vacciner tous les 3 ans les animaux PARCE QUE L'IMMUNITE DURE PENDANT PLUSIEURS ANNEES ET MEME LA VIE DURANT (R.D  Schultz), et chaque injection comporte des risques.

Le manuel de Merck, édité par le très important fabricant de vaccins MERCK, stipule que les patients avec des déficiences immunitaires B ou T ou issus de lignées atteintes d'immunodéficiences B ou T, ne devraient pas recevoir des vaccins à virus vivants, à cause du risque mortel qu'ils présentent. Les signes d'immuno-déficience T ou B incluent des allergies respiratoires, des allergies alimentaires, de l'eczéma, de la dermatite, des atteintes neurologiques et des maladies cardiaques.

Votre chien rentre-t-il dans ce cadre ?

Des études scientifiques font le lien entre vaccins et une large gamme de maladies en -ite: maladies inflammatoires.

En 1983, Frick et Brooks ont démontré que les vaccins déclenchent des conjonctivites et des dermatites chez les chiens. L'étude sur les vaccins effectuée par  Canine Health Concern - concernant plus de 4000 chiens a fait ressortir que:

  • 56,9% de tous les chiens étudiés, souffrant de conjonctivite avaient montré les premiers symptômes dans les 3 mois après une injection.
  • 61.2% de chiens souffrant de dermatite manifestaient les 1ers symptômes pendant ces 3 mois cruciaux.

Notre hypothèse est que si le vaccin n'est pour rien dans la maladie qui survient, alors seulement 25% des maladies devraient commencer dans cette période de 3 mois de l'année ; la plupart des troubles ont commencé dans la semaine qui a suivi l'injection.

  • Nous avons trouvé que 2.7% de tous les chiens étudiés souffraient de colites, avec 56.9% des cas dans les 3 mois de post-vaccination.

Le Dr Larry Glickman explique comment surviennent des phénomènes inflammatoires  et le Dr Harm Hogen-Esch à l'université de Purdue a fait de même. L'équipe  a étudié les effets  du protocole de vaccination couramment suivi, sur les systèmes immunitaires et endocriniens des beagles:

Un groupe de contrôle n'a pas été vacciné et l'autre groupe l'a été selon les instructions des fabricants.

Le groupe vacciné a développé des niveaux importants d'auto-anticorps de fibronectine, de laminine, d'ADN, d'albumine, de cytochrome C, de cardio lipine et de collagène.

  • Une fois vaccinés, les chiens ont commencé à attaquer leur propre biochimie et sont devenus auto-allergiques.

Une découverte dans l'étude de CHC, par exemple, montre que 53.7% des chiens avec des troubles rénaux, avaient commencé à en souffrir dans les 3 mois après l'injection.